On dit souvent que rien de bien ne nait du négatif. En réalité, rien n’est négatif en soi, et donc tout peut être transformé en positif, en son opposé, ou toute autre chose.
Le mouvement Les Nouveaux Hommes est né sous les nuages de la tristesse et dans le vent de l’insatisfaction. Je n’ai pas eu une enfance très joyeuse. Ce genre d’expérience qui vous laisse des séquelles même à l’âge adulte, qui vous empêche d’aimer, ou d’être simplement satisfait de vous-même.
Mais là encore, rien n’est négatif, et tout peut l’être. C’est cette enfance et mes expériences qui m’ont donné une connaissance et reconnaissance accrue de la souffrance des autres. C’est parce que nous souffrons, ou parce que nous avons souffert que nous pouvons voir et savoir ce que les autres ressentent.
Je me souviens d’un jour où j’étais au fond du bus dans ma ville natale, alors que je n’avais encore que 15 ans. C’était l’une de ces journées où il fait trop chaud pour rester chez soi, mais pas assez chaud pour que sortir soit inconfortable. J’avais décidé de prendre le bus plutôt que de marcher.
J’étais assis à ma place préférée au fond du bus, celle située au centre et qui me permettait de voir ce qui se passait. À l’avant du bus, un couple était assis face à face, le regard plein d’amour, à tel point qu’une véritable bulle les entourait, que rien ni personne ne pouvait déranger.
À mi-chemin, le bus s’arrêta pour faire rentrer un autre passager. Un homme d’une quarantaine d’années, non trop âgé, mais qui marchait avec la difficulté et la douleur de ces vieux messieurs que l’on a envie de porter. Il s’assit à gauche du couple qui ne le remarquait pas.
Je ressentais la douleur qu’il ressentait à chacun de ces pas, et elle était bien réelle, mais rien comparée à celle que je perçus sur son visage quand il remarqua ses voisins. Un homme peut surmonter n’importe quelle douleur physique, perdre des membres et continuer d’avancer, mais il semblera toujours vulnérable au plus grand mal : la tristesse de la solitude.
À cet instant, j’ai versé une larme pour cet homme. Or c’est parce que ma souffrance a déjà été, que j’ai pu remarquer la sienne. Et il semblerait que les personnes qui ont cette sensibilité dégagent une aura autour d’elles. Ce quelque chose qui invite les autres à se confier, car ils savent qu’au fond, on les comprendra.
Quelques mois plus tard, une connaissance perdit sa mère d’un cancer. Dévastée, elle m’en parla et me transmit son désarroi et son sentiment d’injustice. Elle ne comprenait pas comment des gens que l’on aime tant pouvaient nous être enlevés par une maladie. Elle ne comprenait pas comment il se faisait que l’on pût aller sur la lune, mais qu’on ne fût pas encore capable de sauver les gens qu’on aime.
Dans cette tristesse, elle me fit promettre de trouver une solution à cette souffrance. Depuis ce jour, j’ai dédié ma vie au sauvetage des autres. Mais avant de pouvoir sauver qui que ce soit, il fallait que je me sauve moi-même.
C’est ainsi qu’à 15 ans, je commençai à lire tous les livres de développement personnel que je pouvais trouver, à regarder tous les séminaires auxquels je pouvais avoir accès, et à mettre en pratique tout ce qui pouvait me faire sortir de mon insatisfaction latente. Celle qui parfois vous submerge de tristesse, mais qui le reste du temps est simplement là, et crée ce vide au fond de soi.
Cette odyssée intellectuelle me permit de grandement améliorer mes compétences, mon niveau de vie, et mes résultats dans tous les domaines de ma vie. Mais surtout, cela me permit très vite de comprendre que tout ce que j’apprenais, tout ce qui m’avait permis de changer ma vie et tout ce qui m’avait sauvé, venait d’un seul et même domaine : la psychologie.
J’ai donc poursuivi mon odyssée à la faculté de Psychologie de Bordeaux dans le but de faire de la recherche et découvrir des choses qui pourront aider encore plus de monde.
J’ai pu apprendre comment la mémoire fonctionnait, comment les émotions se créaient, comment elles pouvaient être contrôlées, mais également comment les dynamiques sociales évoluaient, et donc comment les relations se créaient. J’ai tellement appris que j’ai pu me rendre compte d’une chose : pour tout problème que nous rencontrons personnellement, ou que la société rencontre, la psychologie a ou peut avoir au moins une solution.
Mais une autre réalisation m’est parvenu. Bien que c’est une réalité, et bien que le code de déontologie des psychologues nous y encourage en disant que « La recherche en psychologie vise à acquérir des connaissances de portée générale et à contribuer si possible à l’amélioration de la condition humaine » (Article 44), les recherches en Psychologie ne sont malheureusement pas appliquées.
Dès que je me suis rendu compte de cela, j’ai décidé que si je voulais sauver un maximum de personnes, et permettre au plus grand nombre de créer la vie dont ils rêvent, je devais, non pas me concentrer sur la recherche, mais sur l’application.
C’est comme ça que le mouvement Les Nouveaux Hommes est né. C’est le seul lien actuel entre la recherche en psychologie et l’application. Chez Les Nouveaux Hommes, nous pensons que la psychologie peut changer les choses, et que tout le monde devrait y avoir accès.
Pendant 4 ans, nous avons donc partagé du contenu vidéo et écrit, totalement gratuitement, pour vous permettre de créer la vie de vos rêves. Maintenant, nous sommes allés plus loin en créant un réseau social dont le degré de sophistication et la scientificité des formations vous permettront de créer la vie de vos rêves pas à pas, tout en nous aidant à changer le monde par l’intermédiaire des pro bonos.
Tous nos articles sont rédigés dans un souci de qualité et de rigueur bibliographique, dans le but de vous enseigner et de vous transmettre des informations vérifiées, recoupées, avec pour base les dernières publications scientifiques, de manière à ce qu’elles soient aussi dignes de confiance que possible. Et oui, si vous pensiez qu’on allait simplement vous transmettre des choses qu’on pensait être vraies, ou qu’on trouvait simplement classes, et bien vous faisiez erreur ! Nous sommes des hommes tout comme vous, nous ne possédons donc pas la science infuse, et nous sommes capables d’erreurs. C’est pourquoi nous nous efforçons de baser tous nos cours sur les dernières publications scientifiques.
La majeure partie de nos cours se basent sur des publications de psychologie. Or la plupart des gens pensent que la psychologie est très proche de la philosophie, et que, par conséquent, elle n’est pas scientifique et ses conclusions n’ont pas vraiment plus de valeur que la voyante du coin de la rue. C’était peut-être vrai il y a 100 ans, mais ce n’est plus le cas depuis plusieurs décennies. Qu’est-ce qui a changé ? La psychologie a adopté la méthode scientifique, qui se compose de 4 étapes :
C’est ici que l’on récolte des informations sur ce que l’on veut étudier. On y arrive généralement par l’observation, ou encore la passation de questionnaires (e.g. sondages).
On met ensuite en lien les variables pour prédire l’une en connaissant l’autre. Mais le lien mis en évidence n’est pas forcément causal (e.g. lien entre la présence de votre téléphone, et le fait que vous n’ayez jamais rencontré d’extra-terrestre).
Il s’agit ici de trouver la cause d’un phénomène. Pour ce faire, on teste de manière expérimentale le lien entre les deux variables que l’on a mis en évidence dans l’étape précédente.
On applique ensuite la conclusion de notre expérimentation pour résoudre un problème ou répondre à un besoin.
La dernière étape de la méthode scientifique, l’application, est très souvent oubliée, ou voir délibérément ignorée. Or c’est pour nous une tragédie, car les résultats de recherches peuvent nous permettre de répondre à tant de problèmes, qu’il est indécent de notre part de garder jalousement ce savoir. Le but d’LNH est justement de se concentrer sur cette quatrième étape, et de permettre à tout un chacun d’atteindre la vie de ses rêves en utilisant les dernières découvertes scientifiques.
Si vous êtes comme moi, lorsque vous avez un problème, vous recherchez une solution sur internet. Ce qui est un très bon reflex, car il existe beaucoup de cours et de plateforme e-learning pour vous aider dans votre actualisation personnelle.
Mais le problème est qu’au bout d’un moment, on finit par lâcher, et perdre toute motivation à l’apprentissage, et ce même si l'on fait des progrès. Si ça vous est déjà arrivé, ce n’est pas de votre faute. C’est juste représentatif de la qualité des plateformes e-learning.
Ce n’est pas très attrayant d’apprendre comme ça, on finit par se lasser. Et pourtant, on veut apprendre et se développer, ce n’est pas le problème ! On a juste besoin d’une meilleure solution.
En 2013, Dominguez et ses collaborateurs avaient montré que le fait de gamifier une plateforme e-learning augmentait la motivation et l'engagement des étudiants (Domínguez, A., Saenz-de-Navarrete, J., De-Marcos, L., Fernández-Sanz, L., Pagés, C., & Martínez-Herráiz, J. (2013). Gamifying learning experiences: Practical implications and outcomes. Computers and Education, 63(4), 380–392).
Autrement dit, si l'on donnait des éléments du jeu à notre plateforme e-learning les gens allaient être plus motivés à terminer les formations.
Mais nous avons trouvé une solution encore mieux que celle-ci.
En 2016, une recherche parue dans Computers & Education a testé plusieurs types d’e-learning et a réussi à identifier la forme d’apprentissage le plus efficace : la gamification sociale qui est 17% plus efficace que la solution la plus efficace connue jusqu’alors (la gamification).
C’est celle que nous avons pu mettre en place sur la nouvelle plateforme Les Nouveaux Hommes.
La nouvelle plateforme Les Nouveaux Hommes est donc reprend donc le cadriciel le plus aboutit de la recherche scientifique et vous permettra ainsi d’interagir avec les autres membres en aimant leurs publications, en vous comparant sur le nombre de points, sur vos niveaux, vos accomplissements, vos honneurs, votre réputation, et même l’impact que vous avez sur le monde par l’intermédiaire des pro-bonos.
Mais ce n’est pas tout ! Pour chaque quête que vous accomplissez, vous devez fournir une preuve, et ce sont les autres membres, de votre classe ou non, qui vont évaluer cette dernière.
La plateforme inclut également certains ingrédients des super-jeux définis par la recherche scientifique de Reeves et Read pour vous garantir une expérience plaisante.
La plus grande excuse donnée par les personnes qui ne travaillent pas sur elles-mêmes est qu’elles n’ont pas assez de temps pour lire et apprendre. Avant, je répondais à ça que si vous n’avez pas le temps pour vous développer, vous devriez un jour prendre le temps d’être malheureux.
Mais maintenant, nous avons une solution, même si vous êtes overbooké ! Avec notre groupe test, nous avons défini un système de formations séparé en quête de 20 minutes maximum par jour.
Tout le monde a quelques instants chaque jour, que ce soit de manière consécutive ou non. Et le pari est de permettre à tous d’optimiser ce temps-là pour atteindre son plus grand potentiel.
Contrairement à ce que l’on trouve dans le domaine du développement personnel, toutes nos formations sont recoupées par des recherches scientifiques, qu’elles soient de psychologie, d’ergonomie ou de neurosciences. C’est pourquoi nous préférons parler d’actualisation personnelle, et non de développement personnel.
Mais ce n’est pas tout ! En nous basant sur les recherches de Wang et Strong de 1996, et de Mohammadi, Abrizah et Nazari de 2015, nous avons développé un système de vérification de la qualité des formations.
Ce dernier nous permet de vous proposer les meilleures formations sur le marché, et la meilleure expérience dans votre actualisation personnelle.